Le ministre aux Finances, Jordi Cinca, a présenté, mardi 7 novembre, les détails du projet de Loi du budget pour 2018.
Le budget prévoit des recettes pour un montant de 425 231 642,06 euros, et des dépenses pour 450 919 283 euros. Le déficit de trésorerie est inférieur à 1 % du PIB et s’élève à 25,69 millions d’euros.
Le ministre Cinca a souligné l’augmentation des prestations sociales, en particulier celles du Ministère des Affaires Sociales, de la Justice et des Affaires Intérieures, du Ministère de la Santé et du Ministère de l’Éducation et de l’Enseignement Supérieur.
Le budget prévoit l’amélioration de la situation économique, en ce qui concerne notamment les revenus liés à la consommation, ou l’impôt sur les revenus, en raison de l’augmentation du nombre de salariés.
Les dépenses augmentent aussi, notamment en ce qui concerne les frais de personnel. Cependant, le ministre considère que l’administration n’est pas surdimensionnée, et il faut prendre en considération les augmentations liées à l’IPC et aux révisions des primes salariales d’ancienneté tous les trois ans. La progression en pourcentage de ce chapitre reste inférieure à celle des années précédentes.
Photo: Gouvernement d’Andorre
Le budget prévoit des recettes pour un montant de 425 231 642,06 euros, et des dépenses pour 450 919 283 euros. Le déficit de trésorerie est inférieur à 1 % du PIB et s’élève à 25,69 millions d’euros.
Le ministre Cinca a souligné l’augmentation des prestations sociales, en particulier celles du Ministère des Affaires Sociales, de la Justice et des Affaires Intérieures, du Ministère de la Santé et du Ministère de l’Éducation et de l’Enseignement Supérieur.
Le budget prévoit l’amélioration de la situation économique, en ce qui concerne notamment les revenus liés à la consommation, ou l’impôt sur les revenus, en raison de l’augmentation du nombre de salariés.
Les dépenses augmentent aussi, notamment en ce qui concerne les frais de personnel. Cependant, le ministre considère que l’administration n’est pas surdimensionnée, et il faut prendre en considération les augmentations liées à l’IPC et aux révisions des primes salariales d’ancienneté tous les trois ans. La progression en pourcentage de ce chapitre reste inférieure à celle des années précédentes.
Photo: Gouvernement d’Andorre